Pourquoi les grandes banques sont si nerveuses quand on parle de Bitcoin ?

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Pourquoi les grandes banques sont si nerveuses quand on parle de Bitcoin ?

By Benson Toti - Minute de lecture
Mis à jour 01 August 2022

Il fut un temps où le Bitcoin était invisible et quasiment absent des sujets de discussion. À l’époque, ce n’était qu’une idée originale ; une devise numérique utilisée par les voleurs et les trafiquants de drogue à travers le dark web. Aujourd’hui, ce même petit arriviste vient bousculer les modèles déjà établis. Le Bitcoin, l’Ethereum, les ICO et la technologie Blockcahin sont presque sur toutes les lèvres. De plus, le Bitcoin constitue maintenant une menace légitime pour les banques traditionnelles.

Les banques sont dans la ligne de mire du Bitcoin

La montée en flèche du Bitcoin, ainsi que l’adoption et l’acceptation du grand public ont conduit les banques et les autorités de réglementation financière à devenir très suspicieuses. En fait, cette crypto-monnaie remet en question le système monétaire des banques, en particulier des banques centrales soutenues par les gouvernements. D’ailleurs, tout récemment, le Japon et les États-Unis ont fait plus ou moins preuve de rigueur dans le contrôle de cette devise décentralisée. En fait, les organisations centralisées et puissantes comme les banques, les gouvernements, les régulateurs financiers et les géants de la technologie dépensent beaucoup d’argent pour trouver comment utiliser et contrôler cette innovation technologique.

Une nature décentralisée qui fait peur

Les banques existent depuis des centaines d’années ; voilà l’élément essentiel. Le Bitcoin, soutenu par une plate-forme solide comme la technologie Blockchain, se présente comme un fantôme qui est incroyablement difficile à contrôler en raison de sa nature décentralisée. Le pouvoir et le contrôle de l’argent sont arrachés aux institutions traditionnelles. En effet, les individus peuvent maintenant participer en toute confiance à des échanges directs et en peer-to-peer avec des étrangers. Ils n’ont plus besoin d’une institution centrale pour se porter garante de l’autre partie. Voilà la plus grande crainte des institutions financières traditionnelles.